Vous retrouvez sur cette page l'ensemble des observations déposées sur le registre électronique.

Les propos à caractère manifestement illicite ont été rendus inaccessibles conformément à la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique. Ils sont signalés par la mention « Cette observation a été modérée ».

Ces observations n'ont été ni altérées ni supprimées et elles ont été transmises dans leur intégralité à la commission d'enquête.

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Conformément à la loi du 21 juin 2004 citée ci-dessus, vous avez la possibilité de nous signaler tout propos qui vous paraitrait manifestement illicite afin que nous le rendions inaccessible le plus rapidement possible, le cas échéant.

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Respect de la durée prévue pour la fin des installations provisoires fin 2019.
Stop aux nuisances
Déposée le 16/04/2019
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La durée du centre d hébergement d urgence Provisoire était expressément prévue pour 3 ans il est inadmissible de faire fi de cet engagement et de faire prolonger de 3 ans cette échéance.
Nous notons des dregradations et problèmes de sécurité pour nous et nos enfants que nous ne voulons plus subir.
Déposée le 16/04/2019
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Un site classé n’est pas fait pour faire des logements. Il doit rester classé.
Au nom de l’écologie Madame la Maire de Paris a fait fermer les voies sur Berges qui étaient bien pratiques pour traverser Paris par le centre. Maintenant il faut faire le tour par les périphériques toujours encombrés.
En demandant la de-classification elle fait l’inverse du programme écologique dont elle avait fait hier la promotion en ouvrant la porte demain à la possibilité de faire appel à des promoteurs pour réaliser des programmes immobiliers bien juteux pour eux. En fait elle privative un bien publique susceptible d’être vendu demain à des particuliers. On a bien vu ce que cela a donné avec les autoroutes. Financés par les impôts, les contribuables les ont payés une fois et ils continuent à les payer une deuxième fois aujourd’hui.
On ne va pas régulariser une irrégularité sous prétexte qu’il y a eu une décision de justice. C’était avant de la commettre qu’il fallait se poser des questions. On nous avait dit que les constructions étaient temporaires. Que la ville de Paris s’en tienne à ses promesses.
On supprime une route en créant à la place des immeubles. Cela va occasionner un trafique routier supplémentaire alors que celui qui existe est déjà saturé et qu’on fait tout pour qu’il le soit encore plus en supprimant par exemple les voie sur berges. Au contraire il faut inciter les gens à aller en province, ils seront beaucoup plus heureux.
Je me bats actuellement avec les Chambres de Services que les particuliers veulent transformer en studio pour se faire de l’argent en y installant des WC. La ville de Paris a fait voter un certain nombre de réglementations à ce sujet. Par exemple il est interdit de déverser des eaux Vannes dans une canalisation d’eaux sanitaires. Si vous aller en justice pour demander le respect de cette disposition vous perdrez. Des WC seront installés.
Prenons par exemple l’article 47 du règlement sanitaire de la ville de Paris. Si vous demandez à raccorder des WC via un sani-broyeur à une colonne eaux ménagères c’est interdit, mais comme l’article ne dit rien en ce qui concerne les WC gravitaire, c’est toléré car ce n’est pas contraire à l’article 47 ne dit rien sur l’évacuation gravitaire. C’est ce que vient de décider un juge dans une affaire qui me concerne, mais de qui se moque-t-on ?
Aussi je demande à ce que la Ville de Paris respecte la réglementation en vigueur, et aussi sa propre réglementation. Si ce n’est pas le cas elle doit être sanctionnée. J'ai été très scandalisé que la ville se soit permise de mettre un jour des panneaux CD sur les deux cotés de cette route alors que rien ne le justifiait.
Je suis contre la dé classification de la route des fortifications. C’est la voie à un projet rampant immobilier. On commence en disant :Oh ! ce n’est pas bien important, ce sont des constructions légères et puis après que les autorisations sont données on fait ce que l’on veut.
Déposée le 15/04/2019
42
Au nom de la coordination pour la sauvegarde du bois de Boulogne, de l'association des riverains du bois de Boulogne et de 16° Demain, un memorandum et ses annexes ont été remis au commissaire-enquêteur le 11 avril. Mention a été faite de ce dépôt dans le cahier des observations.

Nous sommes les parties gagnantes du contentieux qui a conduit le Tribunal administratif de Paris à annuler par jugement rendu le 28 décembre 2018 en premier et dernier ressort, le permis de construire du centre implanté à titre précaire et provisoire (pour 3 ans) sur la portion concernée de l'allée des fortifications dans le site classé du bois de Boulogne. L'une des illégalités sanctionnées par le juge était l'absence d'enquête publique et de déclassement du domaine public viaire.


Une enquête intervenant 3 ans après la fermeture irrégulière de la route n'a aucun sens s'il s'agit de peser le pour et le contre de sa fermeture à sa circulation. Dans le contexte de la décision de justice qui vient d'être rendue, elle n'a de sens que s'il s'agit de procéder à l'exécution de la décision de Madame Royal en date du 25 janvier 2016 conditionnant son autorisation limitée à une durée maximale de 3 ans, non renouvelable, à la renaturation du terrain à l'issue de la période de validité du permis. Depuis le 28 décembre 2018, le permis n'a plus aucune validité; la condition de renaturation s'impose désormais à toutes les procédures.


Nous conditionnons par conséquent notre accord à l'enquête publique et au déclassement projeté à la double condition qu'ils ne servent qu'à mettre en œuvre sans délai la décision de renaturation prise par la ministre en charge des sites en 2016 et que cet objet exclusif soit mentionné dans la décision de déclassement, ce qui n'est pas le cas actuellement.


Cette observation doit être considérée comme partie inséparable du memorandum joint en format PDF ainsi que des annexes qui ont été remises au commissaire-enquêteur, en particulier la décision du 25 janvier 2016.
Déposée le 15/04/2019
41
Au nom de la coordination pour la sauvegarde du bois de Boulogne, de l'association des riverains du bois de Boulogne et de 16° Demain, un memorandum et ses annexes ont été remis au commissaire-enquêteur le 11 avril. Mention a été faite de ce dépôt dans le cahier des observations.

Nous sommes les parties gagnantes du contentieux qui a conduit le Tribunal administratif de Paris à annuler par jugement rendu le 28 décembre 2018 en premier et dernier ressort, le permis de construire du centre implanté à titre précaire et provisoire (pour 3 ans) sur la portion concernée de l'allée des fortifications dans le site classé du bois de Boulogne. L'une des illégalités sanctionnées par le juge était l'absence d'enquête publique et de déclassement du domaine public viaire.


Une enquête intervenant 3 ans après la fermeture irrégulière de la route n'a aucun sens s'il s'agit de peser le pour et le contre de sa fermeture à sa circulation. Dans le contexte de la décision de justice qui vient d'être rendue, elle n'a de sens que s'il s'agit de procéder à l'exécution de la décision de Madame Royal en date du 25 janvier 2016 conditionnant son autorisation limitée à une durée maximale de 3 ans, non renouvelable, à la renaturation du terrain à l'issue de la période de validité du permis. Depuis le 28 décembre 2018, le permis n'a plus aucune validité; la condition de renaturation s'impose désormais à toutes les procédures.


Nous conditionnons par conséquent notre accord à l'enquête publique et au déclassement projeté à la double condition qu'ils ne servent qu'à mettre en œuvre sans délai la décision de renaturation prise par la ministre en charge des sites en 2016 et que cet objet exclusif soit mentionné dans la décision de déclassement, ce qui n'est pas le cas actuellement.


Cette observation doit être considérée comme partie inséparable du memorandum joint en format PDF ainsi que des annexes qui ont été remises au commissaire-enquêteur, en particulier la décision du 25 janvier 2016.
Déposée le 15/04/2019